Loïck Peyron :  » C’est impressionnant, cela fait près de quatre jours d’avance. Pour l’instant les conditions météo ne sont pas forcément aussi favorables, mais le potentiel de ce bateau est incroyable. C’est pour ça qu’on n’arrête pas d’insister en disant qu’il faut y aller mollo mollo, piano, parce que c’est quand même compliqué de gérer la mécanique de cette grosse machine. (…) Nous sommes dans une petite tempête assez sympathique, avec de la mer un peu formée et on y va tranquillement. Ça bouge pas mal. Cette mer est le début d’une petite tempête assez forte. On va empanner vers le sud dans la nuit et aller rejoindre son coeur. On est obligés, il faut bien faire la route, sinon on va enchaîner dans pas de vent du tout, dans l’anticyclone et sous Hobart. Donc on contourne la difficulté par le nord. La mer sera encore un peu plus formée, ce qui est la seule chose qui freine Banque Populaire. »

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